jeudi, septembre 07, 2006

Pour les féministes de la famille.

Magistrat, poète et "gentilhomme agricole"

Patrice Beghain qualifie ainsi Jean Jacques Le Franc de Pompignan dans son livre "Ecrivains et artistes du Quercy " aux éditions du Rouergue.

Voici le monument édifié à sa gloire à la sortie de Luzech.

Il est né à Montauban le 10 Août 1709 et meurt à Pompignan le 4 Septembre 1784. Il a habité le château de Caix, actuelle propriété de la Reine de Danemark.

Les historiens admettent tous, sans que cela soit prouvé formellement, qu'il a été le père d'une fille dont on rappelle souvent la mémoire .

Cette fille, Marie Gouze, née le 7 Mai 1748 à Montauban, a été enregistrée comme la fille de Pierre Gouze et de son épouse Anne-Olympe Mouisset , filleule de Le Franc de Pompignan.

Cette fille révéle sa filiation réelle en 1786.

Elle est guillotinée en 1793.

Entre temps, changeant de nom, elle a écrit " La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne".

Connaissez vous ce nom sous lequel elle est devenue célébre aujourd'hui ?

3 Comments:

Blogger Jean Pierre J. said...

Ah! C'est bien la réponse que j'attendais. Et je ne suis pas étonnée que ce soit toi Florence qui me réponde la première.Bravo donc...
Je crois en réalité qu'elle avait pris dans son nom le prénom de sa mère Marie Olympe; sur le site du digne universitaire américain de l'Université du Delaware spécialiste de ce sacré luron qu'était Le Franc de Pompignan, c'est avec ce prénom là qu'elle figure; mais Marie ça fait un peu clérical, et on a du prendre l'habitude de l'appeler seulement Olympe.

vendredi, 08 septembre, 2006  
Blogger MarNath said...

J'arrive un peu tard pour la réponse... que j'avais trouvé sur google (car je le savais pas avant...)

Bravo Florence

vendredi, 08 septembre, 2006  
Blogger Jean Pierre J. said...

Poussé par la curiosité, je suis allé voir sur Google différents sites.Difficile de se faire une idée exacte, sauf à aller voir comme je le pensais déjà sur les sites d'Universités américaines.C'est fou ce que les historiens américains aiment notre 18° siècle; il est vrai que La Fayette est passé par là.

vendredi, 08 septembre, 2006  

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