jeudi, mars 30, 2006

Septante

Septante années aujourdhui.

La journée a commencé tôt: 6 heures du matin, comme il y a soixante dix ans.

Cachets- café, comme chaque jour.

Lecture du “Monde” reçu la veille.

A 7 heures, France Culture. De 7 heures à 9 heures, les différents rendez vous avec les voix connues des collaborateurs des “ Matins”. Le ton est grave, actualité française oblige. Météo, on annonce la pluie.

Vaisselle de la veille.

Toilette.

Ce sera , comme les précédentes, en ce moment en particulier, une journée de méditation et d’échanges avec Annick.

Les sujets ne manquent pas, liés d’abord à notre passé, au présent et à l’avenir des enfants et petits enfants.

L’école, les études, le travail.
La santé de tous.

Ensuite les regards obligés sur ce qui nous entoure: problémes de la vie à la campagne, liaisons avec la ville, le pays, le monde. Des informations de partout, presque en temps réél; il suffit de se connecter et de puiser , radio, satellite, téléphone.
Tout ce qui ne va pas bien est mentionné. Mais qu’il est difficile parfois de se repèrer dans ce flot continu de nouvelles.

Activités de retraité: courrier, courses, rangement (!), jardin.

Passage du facteur avant midi. Préparation du repas.Gâteau. Asti. Nouvelles à la télé.

Pas le temps de s’ennuyer pour nous deux.

Et ce nouveau printemps qui démarre en force au Brugas.